je suis d'accord avec toi. C'est un peu l'approche que j'ai essayé d'avoir de la chose. Il me semblait que c'était dans l'avant dernière que c'était le plus palpable. Intéressant de lire un autre son de cloche (un son de cloche à l'écrit ?!).
Pour la souffrance, elle étaity effectivement représentée sur scène : la lente agonie d'une mouche en prise avec un horrible papier tue-mouche... ça a l'air dérisoire, comme ça, mais de façon assez étonnante, ça parvient à être prenant.