Des courbes de choses invisibles

bande originale : Telefax - Des courbes de choses invisibles ; en fragments, obsessionnels ("ses doigts dessinaient sur la vitre - des courbes de choses invisibles - que dire, quand elle se refermait - qui lui mangeaient le visage - tu les voyais - peu à peu, tu les voyais - que dire, quand elle se refermait - sur les vitres, dans la voiture - tu les voyais - à chaque fois" ad lib / ad vitam)

Rien de bien particulier à dire sur cette photo, si ce n'est coup de coeur et direct dans la section "photo de la semaine " ^^

(en plus le modèle a des mains superbes)

Merci beaucoup Lara

oui, elle est magnifique cette photo.
elle est d'un calme reposant, et d'une douceur...
j'aime cette photo C, vraiment.
merci pour ce bel instant de complentation.

Effectivement il y a une sorte de filtre envoutant
cependant peut etre qu'inscrit dans un plus grand cadre cette partie aurait été mise en valeur de manière plus subtile...

Non non, je n'avais pas envie de mettre en valeur une "partie", justement. D'ailleurs, pour voir là-dedans une partie, il faut opérer un travail de reconstruction. Ma photo ne donne pas de partie. Elle donne une courbe et des mains. De la peau, que l'on devine douce (si j'ai réussi mon coup). Mais pas une partie. J'y tiens assez, parce que ce n'est pas du tout la même démarche. Je n'ai pas cherché la joliesse délicate d'une chute de reins dont on percevrait les détails, assez pour produire une certaine stimulation ou je ne sais quoi dans l'oeil de l'amateur de sensualité déjà-trop-vue.